Porte de cellier

N'essaie pas de contrôler le flux de tes pensées, entre en toi-même.

Special K

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J’écris ce Kōan par hasard, sur un son de Klangkarussell. Un shoot de Kétamine dans les oreilles, le skull m'envahit, plus rien n’existe, le squal resurgit. En miroir, Tout est là — le néant, la mort et la vérité. Je n’ai jamais été autre chose que le reflet du K. Pour m’en rappeler, il a fallu noyer mon égo dans ce K-hole de Kamikaze. Je sens monter le Kuṇḍalinī, je phase, mon Khiχ se charge et je décharge dans des Cercles de Kandinsky. Trouver la Key, décrypter la Kabbale, éviter un retour de Karma, ϛa commence à faire beaucoup de Kk. Je me souviens de cette phrase de K. Dick, “je suis vivant et vous êtes morts”. À quel moment la beauté absolue s’est métamorphosée en laideur Kafkaïenne ? Quel Cauchemar. Maîtriser l’art du Kung-fu j’en suis Kappableϰ, j’ai dans la paumeϰ le pouvoir du Kaméléon. Je dois revêtir mon Kimono, approfondir la Kinesthésie et foutre des Kicks dans tous les Kystes pour revoir le Khat et faire advenir le Krash.

Cherche la clé pour déverrouiller ton âme.